Toi suis moi : Déroulez pour lire.
Vraie repentance ou simple regret
« En effet, la tristesse qui est selon Dieu produit une repentance salutaire dont on n’a pas de regret, mais la tristesse du monde produit la mort. » 2 Corinthiens 7,10
Vraie repentance ou simples regrets ?
La tristesse qui est selon Dieu en lien avec des péchés passés montre que l’on se reconnaît coupable. On est profondément attristé par ses propres manquements, on n’embellit pas le mal mais on le juge avec détermination. Il en résulte une vraie repentance. On voit le péché comme Dieu le voit, on sait qu’on Le déshonore et qu’on mérite Son jugement. Dieu s’approche en grâce de celui qui a une telle attitude. Il lui montre l’œuvre rédemptrice de Son Fils qui est le fondement du salut.
La tristesse du monde relative à des fautes passées n’est qu’un regret qu’une erreur ait eu lieu. On se plaint avant tout des conséquences négatives qui en découlent et on cherche toutes les excuses possibles. Le résultat de ce semblant de remords est la mort. Puisqu’aucun vrai retour n’a eu lieu dans le cœur et qu’on ne capitule pas devant Dieu, aucun changement fondamental en vue du bien ne s’opère.
La mort, dans notre verset du jour, parle d’une part commune à tous les hommes qui ne sont pas en règle avec Dieu. Seule une vraie repentance de notre vie de péché nous ouvre le chemin du salut éternel.
D’autre part, ce verset s’applique aussi aux croyants qui ont commis des fautes. Aussi longtemps qu’ils excusent leurs péchés ou rejettent la responsabilité sur d’autres, ils ne seront pas en ordre devant Dieu et devant les hommes.
Henry Martyn, un homme qui courait droit au but
Une brillante carrière s’ouvrait devant Henry Martyn, un étudiant de vingt ans, lorsqu’il termina ses études de mathématiques avec les plus hautes distinctions, à la célèbre université de Cambridge en Angleterre. Mais le jeune homme avait d’autres ambitions. La responsabilité en revenait à sa sœur aînée. Les récits d’audacieux pionniers missionnaires parmi les Indiens d’Amérique ou en Inde l’avaient enthousiasmée. Elle ainsi qu’un pasteur qui, en tant qu’aumônier, avait une grande influence sur Henry Martyn, stimulèrent son intérêt pour la grande tâche de la mission dans le monde.
Henry Martyn était très intelligent, cependant sa santé était fragile. Il se doutait bien des risques qu’impliquait un travail sous les tropiques. Il entraînait donc son corps dans une chambre glaciale et prenait son petit-déjeuner debout, afin d’être très dur envers lui-même.
La mort de son père, auquel il devait beaucoup, marqua un tournant dans la vie du jeune homme. Il lui fallait maintenant placer toute sa confiance dans sa foi en Jésus Christ. Tôt le matin, il lisait la Bible pendant des heures et priait à genoux devant son Seigneur. Son bonheur était de vivre en harmonie avec la volonté de Dieu.
Lorsque Henry Martyn priait pour « ne pas avoir de volonté propre », l’image d’une femme qu’il aimait et vénérait ardemment apparaissait comme une grande tentation. Il s’agissait de Lydia, une sœur de sa belle-sœur, qui avait six ans de plus que lui. Il voulait trouver son bonheur en Dieu seul, mais ne pouvait oublier cet amour de jeunesse. Aussi puissants que soient ses sentiments, il était clair pour lui que, face à la dureté de la vie missionnaire, un mariage le lierait de manière insupportable et le détournerait de son service pour Dieu. « Rends-moi prêt à te servir, Seigneur », a prié Henry Martyn, « comme tu l’as ordonné » !
Il rompit donc la relation et partit en 1805 pour un périlleux voyage de neuf mois en bateau vers l’Inde. À cette époque, la seule possibilité d’être missionnaire était d’être pasteur à plein temps pour les fonctionnaires et les soldats de la Compagnie des Indes orientales. Une ancienne charte, vieille de plus d’un siècle, régissait ce type d’assistance ecclésiastique. Pendant longtemps, personne ne s’est soucié de savoir comment ces pasteurs exerçaient leur ministère. Il paraît que certains n’avaient même pas de Bible. Ce n’est que lorsque les troupes anglaises sont entrées au service de la Compagnie des Indes orientales que les évêques ont pu influencer la nomination de ces aumôniers. Parallèlement à l’éveil de la vie spirituelle en Angleterre, de nombreux croyants ont insisté pour que ces postes soient occupés par des aumôniers réellement croyants et missionnaires.
C’est ainsi qu’Henry Martyn est arrivé à Calcutta en tant qu’aumônier de campagne de la Société des Indes orientales. Pour lui, l’essentiel était de répandre l’Évangile parmi les hindous et les musulmans. Il ne lui restait cependant que peu de temps à consacrer à cette tâche en dehors de son travail. Avec une grande énergie, il apprit rapidement l’ourdou, la langue utilisée par les musulmans dans le nord de l’Inde. Dès 1810, le Nouveau Testament a pu être imprimé en hindoustani. Il a ensuite commencé à étudier le persan et l’arabe en plus de son travail et a traduit le Nouveau Testament dans ces langues. Le climat chaud et brûlant de l’Inde intérieure eut raison de la santé fragile d’Henry Martyn. Il tomba malade. Il vécut longtemps dans une pagode abandonnée, oppressé par l’inquiétant monde des dieux hindous.
Le travail constant sur la Parole de Dieu l’aida beaucoup à surmonter la maladie et le réconforta. Lors d’un sermon de rue prononcé par Henry Martyn à Kanpur, le cheikh Salih s’arrêta, pensant « voir un spectacle ». Les paroles du sermon le touchèrent. Un an plus tard, il fut baptisé et s’est alors appelé Abdul Messih. Il devint un prédicateur très apprécié des musulmans, des hindous et des chrétiens, et joua un rôle décisif dans la fondation de l’église évangélique d’Agra près du célèbre tombeau du Tadj Mahal.
Mais Henry Martyn fut profondément bouleversé par l’annonce du décès de ses deux sœurs bien-aimées. Des amis lui conseillèrent finalement d’écrire une nouvelle fois à Lydia pour lui demander de l’épouser. Mais, Lydia refusa, ce qui fut un coup dur. Henry Martyn écrivit dans son journal : « Si le dernier souhait de ma vie n’est pas réalisé… je veux tout oublier sauf Dieu. Avec toi, Seigneur, il n’y a pas de déception. Jamais je ne pourrai regretter de t’avoir trop aimé ». La parole du Psaume 37,4 fut son réconfort : « Fais de l’Éternel tes délices : il te donnera les demandes de ton cœur ».
Pendant cinq ans, Henry Martyn avait travaillé sans relâche. En plus de son ministère militaire et de ses études linguistiques, il avait fondé plusieurs écoles. La maladie avait gravement affaibli son corps. Les médecins diagnostiquèrent une tuberculose avancée. Un congé dans son pays natal, l’Angleterre, devait lui redonner des forces. Pour rentrer chez lui, il choisit la difficile voie terrestre afin de mener des entretiens avec des chefs musulmans dans la ville persane de Chiraz et de vérifier en même temps sa traduction du Nouveau Testament persan. Il voulait donner personnellement un exemplaire au roi perse Shah Ali Shah Kajir. Mais il dut le faire remettre par un messager. Il eut la joie de baptiser en chemin un musulman qui s’était converti au christianisme.
Puis il poursuivit son voyage. Mais il n’alla pas plus loin que la Turquie. La dernière entrée de son journal est datée du 6 octobre 1812, dans la ville de Tokat : « Comme on ne pouvait pas se procurer de chevaux, j’ai eu un répit inattendu. J’étais assis dans un verger et je pensais : Quand l’éternité commencera-t-elle ? Quand apparaîtront les nouveaux cieux et la nouvelle terre, où la justice habitera ? Là, rien d’impur n’entrera, rien de la méchanceté qui a rendu les hommes pires que les bêtes sauvages ; rien de la dépravation qui ne fait qu’accroître le malheur de mourir, ne s’y fera plus jamais entendre ».
Dix jours plus tard, à 31 ans, Henry Martyn mourut dans la solitude et l’inconnu, où, comme il l’avait écrit dans son journal, il avait toujours trouvé « le réconfort et la paix dans son Dieu, qui était son compagnon, son ami et son consolateur dans la solitude ». Nous ne savons pas s’il est mort de la fièvre qu’il portait depuis longtemps ou de la peste qui sévissait justement dans la ville turque de Tokat.
Des chrétiens arméniens lui ont rendu un dernier service d’amour en enterrant le voyageur inconnu. Au cours des six années de son activité missionnaire, il a achevé le grand travail de traduction du Nouveau Testament dans trois langues très différentes. Il a baptisé 60 à 70 hindous. Le fait qu’il a conduit de nombreux musulmans à la foi en Jésus Christ ne doit pas être oublié. C’était la passion d’Henry Martyn : « Je veux consommer toutes mes forces pour Dieu ! ». Et : « Même si je ne devais jamais voir un autochtone se convertir, je voudrais encourager par ma persévérance et ma patience les missionnaires qui viendront après moi ». Sa vie n’a pas été vaine. Il a couru droit au but !
Comment échapper ?
Il y a quelques années, un prédicateur anglais débutait ses discours de la manière suivante :
– Chers amis, je voudrais commencer par une question. C’est une question à laquelle aucun d’entre vous ne pourra répondre. Je ne le peux pas non plus moi-même. L’ange et le diable ne sont pas non plus capables d’y répondre.
Tous les regards se tournaient alors vers l’homme qui avait prononcé ces mots d’un ton solennel. Il poursuivait de la manière suivante :
– La question est de savoir comment nous échapperons, si nous négligeons un si grand salut (Hébreux 2,3).
- Pouvez-vous, peux-tu répondre à cette question ?
- Peux-tu me dire comment tu te cacheras du Dieu omniscient quand son jour viendra ?
- Comment échapperas-tu au Saint Juge, si tu as rejeté avec tant de désinvolture l’offre de son grand salut par le Seigneur Jésus Christ ?
- Que faire alors ?
Soit tu es sauvé par le Seigneur, soit tu es perdu.
Aimer son prochain
Un courriel de vous :
J’ai compris qu’il faut aimer Dieu de tout son cœur et aimer son prochain. Moi, je n’aime pas trop mon prochain, surtout les gens qui m’ont fait du tort. Mais hier, j’ai encore compris que ce n’est pas bien et que si je n’aime pas mon prochain, cela veut dire que je n’aime pas Dieu. Mon désir est d’aimer les gens que je n’aime pas. C’est vrai que je m’efforce de sourire, mais dans mon cœur je leur garde rancune. Il y a même d’autres frères ou sœurs que je n’aime pas et je n’arrive pas à les saluer. Que faire ?
Chers amis, peut-être que le problème de L. est aussi le vôtre. Voici, quelques versets et pensées à méditer à ce sujet :
Si quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, il est menteur ; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ? Et nous avons ce commandement de sa part : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère. 1 Jean 4. 20, 21
L’amour chrétien
Quelle est la perfection de l’amour ? C’est d’aimer même nos ennemis et de les aimer dans le but qu’ils deviennent nos frères. L’amour aime servir ; l’orgueil et l’égoïsme aiment être servis. Chrétiens, nous ne pouvons pas vraiment aimer Dieu sans nous aimer les uns les autres. Je ne nie pas la difficulté, mais ne pas le faire, c’est comme si nous disions à Dieu :
« Je ne t’aime pas assez pour aimer mon frère ». L’amour prouve son authenticité dans la fidélité, mais il atteint sa plénitude dans le pardon. C’est en vivant cet amour qui pardonne que nous convaincrons ceux qui nous entourent de l’amour de Dieu. Plus les rayons d’une roue se rapprochent du centre, plus ils se rapprochent les uns des autres. Amis chrétiens, plus nous nous approchons de Dieu, plus nous serons proches les uns des autres. À l’inverse, si je n’ai pas de communion réelle et vivante avec mes frères, n’est-ce pas la preuve que je n’en ai pas non plus avec Dieu ? Tout ce qui, par ma faute, constitue une barrière entre moi et l’un de mes frères en élève du même coup une entre Dieu et moi. Source : La bonne semence 17.08.2006
Moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous font du tort. Matthieu 5. 44
Jésus dit : Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. Luc 23. 34
Aimer ses ennemis ?
Extraordinaire déclaration de Jésus ! Qui est capable d’aimer ses ennemis ? Qui peut aimer celui qui lui fait volontairement du tort ? Avec ses propres forces, avec ses bonnes résolutions : personne ! car c’est contraire à notre nature. Pour le faire, il faut l’amour qui vient de Dieu. En Christ qui nous a pardonnés, nous trouvons la force d’aimer au lieu de haïr.
Comment aimer quelqu’un qui me déteste ? En pensant à Jésus. Si je suis chrétien, ma manière d’agir ne doit pas être déterminée par les autres, mais par la volonté et l’exemple de Jésus. Il est allé à la croix pour ceux qui le haïssaient, et sur la croix, il a prié pour eux.
Les ennemis de Jésus n’étaient pas seulement les chefs religieux ni les Romains… C’était l’homme en général, c’était donc chacun de nous. Il y a en nous des sentiments de méfiance et d’inimitié contre Dieu (Romains 8. 7). Mais l’amour de Jésus a triomphé de notre hostilité, de notre indifférence il nous a gagnés. Maintenant, il nous invite à vivre de son amour et à aimer ceux qui nous haïssent. Source : La bonne semence, 17.11.2002
Le seul remède pour un cœur froid, c’est d’être en contact avec le cœur de Jésus. Le Seigneur est proche 28.11.2017
La pureté d’un jeune croyant
VOTRE COURRIEL
La pureté d’un jeune croyant – C’est quoi selon toi ?
Nous vivons dans un monde en perpétuel changement, les choses évoluent, les mentalités changent, ce qui fait qu’en tant que jeunes, nous oublions souvent et facilement ce qui est pur.
1) DÉFINITION
Selon la compréhension de beaucoup de jeunes, la pureté est égale à la chasteté qui signifie de s’abstenir des rapports sexuels avant le mariage.
Mais est-ce vraiment cela, la pureté aux yeux de Dieu ?
Réduire la pureté à cette définition pour un croyant qui désire vivre pour le Seigneur, serait lui enlever son sens véritable et véridique. Pour Dieu, la pureté, c’est garder son cœur pur. « Garde ton cœur plus que toute autre chose » (Prov. 4, 23). Cela signifie garder ses pensées et ses actes purs et marcher dans une voie de pureté. Oui, la pureté selon le cœur de Dieu ne se résume pas à s’abstenir des rapports sexuels jusqu’au jour du mariage, mais la pureté pour Lui est un style de vie qui commence dans le cœur.
2) IMPURETÉ
Un bon nombre de chrétiens croient que c’est en commettant l’acte sexuel hors mariage qu’on devient impur, que l’on perd sa pureté. Mais malheureusement, c’est une façon floue de voir les choses.
L’impureté commence dans le cœur et se traduit en acte. Si un chrétien commet la fornication, ce n’est pas ce jour-là qu’il est devenu impur, mais dans la plupart des cas il l’était depuis longtemps. Il a juste effectué ce qu’il avait dans son cœur.
Nous voyons dans la Bible que l’impureté est une chose qui habite dans le cœur, puis devient manifeste. En 2 Sam. 13, 1-22, l’histoire d’Amnon et Tamar le montre : Amnon aimait Tamar sa demi-sœur depuis bien longtemps, tel était l’état de son cœur, puis il a abusé d’elle. Est-ce que c’est le jour où il a accompli l’acte qu’il est devenu impur ? NON ! Il l’était depuis, car son cœur était perverti, et il réfléchissait comment faire avec Tamar.
3) LA PURETÉ
Comme nous l’avons déjà dit, la pureté commence dans le cœur, influence et forme les pensées, puis dirige la voie que nous prenons.
Comment donc mener une vie de pureté ?
« Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde car de lui sont les issues de la vie » Prov. 43, 23. Garder son cœur, c’est le préserver de toute chose mauvaise, de toute souillure… Le cœur est le centre de notre vie, et la Bible parle de lui en tant que siège de nos motivations, nos aspirations et nos émotions… C’est dans le cœur que nous prenons nos décisions.
Les mauvaises choses que tu laisses entrer dans ton cœur te souillent, te pervertissent et corrompent tes pensées. Pose-toi les questions suivantes :
• Qu’est-ce que je regarde ?
Pour se garder pur, il faut fermer les portes d’entrée. Sérieux et honnête : Ce sont souvent les mauvaises choses que nous avons regardées qui restent gravées dans la tête. Et c’est ainsi que les mauvaises idées commencent, les mauvaises pensées viennent habiter en nous et si nous ne prenons pas garde, nous allons manifester cela en acte.
La Bible dit en Matthieu 18, 9 : « Si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi ». Oui, si tu vois qu’il y a certains films, séries… qui ne t’aident pas, ne les regarde pas. Car ce que tu laisses pénétrer dans ton cœur par ton œil y restera gravé. SOIS HONNÊTE AVEC TOI-MÊME.
• Qu’est-ce que j’écoute ?
« Tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable… que cela occupe vos pensées » Philippiens 4, 8. Je vous recommande de lire dans le « TOI SUIS-MOI » 1.2019 l’article qui traite des musiques mondaines. À quoi est-ce que tu prêtes l’oreille quand tu es à l’école ?
• Qu’est-ce que je dis ?
Ce que tu dis dépend de ce qui est dans ton cœur. La Bible ne dit-elle pas que de l’abondance du cœur la bouche parle (Matth. 12, 34) ? Si tu es à l’aise avec les incrédules et que tu parles légèrement avec eux, ne sois pas étonné que parfois, quand tu es avec les chrétiens tu dis des choses, et ensuite tu t’excuses en disant « que ta bouche a glissé ». Ta bouche exprime juste de quoi ton cœur est rempli.
• Qui sont mes amis ?
« Les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs » 1 Cor. 15, 33. Si tu veux te garder pur, regarde qui est dans ton cercle d’amis et enlève ceux qui ne te sont pas en aide. Même si tes amis sont tous des enfants de Dieu et ont par conséquent le même Esprit, tous ne le laissent pas agir de la même façon. Entoure-toi d’amis qui pourront t’aider dans ta marche chrétienne. N’aie pas peur de changer ceux avec qui tu passes ton temps si cela ne t’apporte rien de bon.
• Qu’est-ce que je lis ?
Est-ce que ce sont des histoires édifiantes de la BIBLE ? Ou alors des histoires d’amour sur Facebook ? « Comment un jeune homme rendra-t-il pure sa voie ? Ce sera en y prenant garde selon ta Parole » Ps. 119, 9. Ce verset est tellement clair. Si tu veux marcher sur des sentiers purs, applique-toi surtout à la lecture et à la méditation de la Parole de Dieu et choisis des livres qui sont une aide pour ta croissance spirituelle. C’est seulement ainsi que tu pourras marcher dans une voie de pureté, une voie qui honore Dieu.
4) SOLUTIONS POUR MENER UNE VIE DE PURETÉ EN JÉSUS
Comme le titre le dit, la solution est le Seigneur Jésus. Il y a des gens qui disent : « Je suis déjà allé trop loin sur cette voie de l’impureté, il n’y a plus rien à faire pour moi », mais c’est faux ! Il y a tout à faire pour toi ; le Seigneur est capable et veut te délivrer de cette vie. Lui-même dit en Ezéchiel 36, 29 : « Je vous délivrerai de toutes vos impuretés ». Crie vers Lui et Il te délivrera, car Il l’a promis. Fais confiance à sa Parole, comme cet homme qui, sans connaitre Jésus, a dit : « Si tu veux, tu peux me rendre net » et en réponse à sa foi, le Seigneur lui a dit : « Je veux, sois net ».
Le psalmiste a demandé : « Crée-moi un cœur pur, ô Dieu ! et renouvelle au-dedans de moi un esprit droit » (Ps. 51, 10). Oui, Dieu veut que tu fasses honnêtement cette prière, car il veut te purifier. La question est de savoir si toi-même tu veux cela.
N’oublie pas que lorsqu’on est dans une vie d’impureté, la communion pratique avec le Père est interrompue, car il ne tolère jamais le mal.
5) UN MOT POUR LES FIANCÉS
Le fait d’être fiancé ne t’enlève pas ton statut d’enfant de Dieu. Je voudrais dire ceci : Tous les enfants de Dieu sont appelés à avoir une vie de pureté, que tu sois fiancé ou pas. Il y a des fiancés qui disent : C’est mon fiancé/ma fiancée, je peux me permettre de faire ceci ou cela. Tant que nous ne franchissons pas la ligne rouge (rapport sexuel), il n’y a pas de problème. Mais c’est faux !
Vous devez tous deux garder vos pensées pures et vous préserver de tout mal. Le livre du Cantiques des Cantiques 8, 4 dit : « Je vous adjure, filles de Jérusalem, pourquoi éveilleriez-vous et pourquoi réveilleriez-vous mon amour, avant qu’elle le veuille ? » Le jour où l’amour doit être complètement réveillé, c’est après le mariage et pas avant. Une caresse par ci, un bisou par là… ne vous aide pas pendant vos fiançailles, ils réveillent juste en vous les désirs sexuels qui finiront par se traduire en acte.
Il y a beaucoup de couples chrétiens qui ont fini par céder à l’acte sexuel avant leur union. Et pourquoi ? Parce qu’ils n’ont pas gardé leurs cœurs, ils n’ont pas su être des aides dans leur couple, ils n’ont pas veillé à leurs mains, leurs regards… Ils n’ont pas su s’arrêter. Parfois les fiancés oublient qu’ils sont juste des fiancés et pas des mariés. Les fiançailles sont la préparation au mariage et non pas le mariage.
POUR CONCLURE :
Mener une vie de pureté n’est pas facile. Mais ce n’est pas non plus difficile quand on décide laisser le Seigneur être Maitre et Seigneur de nos vies, car il veut nous aider et nous donner la force de nager à contre-courant.
Musique mondaine
Votre courrier
Cœur à cœur…
…d’une jeune chrétienne qui a le courage et le désir de partager avec vous ses expériences et ses conclusions au sujet des musiques mondaines !
QU’EST-CE QUE TU ÉCOUTES ?
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« Au reste, frères, tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui est de bonne réputation s’il y’a quelque vertu digne d’éloge -, que cela occupe vos pensées. » Philippiens 4, 8
Pour moi, les musiques mondaines sont des musiques qui n’édifient pas, qui ne font pas grandir spirituellement, mais qui tirent vers le monde. Je sais que ce que je dis peut sembler très absolu et qu’il existe des musiques mondaines apparemment bonnes, ces musiques que nous les jeunes, nous appelons « musiques moralistes ». Mais réfléchissons ensemble : Quelle base de morale un enfant de Dieu doit-il rechercher sinon des paroles et des musiques inspirées par Dieu lui-même, qui dirigent les cœurs et les pensées sur Lui ? Peut-être que tu vas me demander de quel siècle je sors avec ces idées !
MA PETITE HISTOIRE
Moi j’écoutais les musiques mondaines, mais juste après m’être convertie, j’ai directement arrêté de telle sorte que quand cela passait à la radio je chantais un cantique. Cependant, quelque temps plus tard, j’ai recommencé à chanter ces chants mondains, puis je me suis mise à trier et à ne chanter que les musiques moralistes dans lesquelles on parlait de maman, de la paix, des problèmes et tout et tout. J’étais fan des groupes hip-hop et d’autres « stars » comme Dadju. Plusieurs frères et sœurs âgés m’ont interpellée, mais j’ai défendu « mes musiques moralistes ». Puis un jour je ne sais comment l’expliquer une sœur que j’aime beaucoup m’a montré que même cela n’était pas bien et que ces musiques « apparemment bonnes » nous souillent et attristent l’Esprit de Dieu qui habite en nous. Pour cette raison, elle avait supprimé toutes ces musiques de son téléphone.
Le même soir, j’ai confessé et demandé pardon à Dieu pour tout cela, puis j’ai effacé tous ces chants de mon téléphone. C’était une délivrance.
Avant, j’avais même pris ce verset de Philippiens cité plus haut pour justifier ces musiques moralistes, mais j’ai compris que j’étais dans l’erreur.
J’aimerais que nous réfléchissions à ce qui suit : La majorité des jeunes avec qui je parle me disent qu’après leur conversion, ils ont arrêté d’écouter ces musiques, mais qu’ils ont recommencé plus tard. Pourquoi est-ce que nous laissons tomber les musiques mondaines lorsque nous nous convertissons, et que nous y retournons ensuite ? C’est parce que nous ne sommes plus sensibles aux choses du Seigneur, car nous avons tellement embrassé le monde que nous en sommes totalement imprégnés. Est-ce juste qu’il en soit ainsi ? Je ne crois pas.
CONSIDÉRONS QUELQUES VERSETS
• « N’aimez pas le monde, ni ce qui est dans le monde : si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui. » 1 Jean 2, 15
Je crois que nous connaissons tous ce verset par cœur, mais est-ce que nous le comprenons bien ?
Les musiques mondaines sont du monde, et les choses du monde cherchent à détruire ceux qui confessent le Seigneur Jésus. Je ne vois pas ce qu’elles ont apporté de positif à ma vie spirituelle. Au contraire elles ont pris la place qui revient à Dieu et je les ai aimées plus que les cantiques.
Parfois, pendant le culte, les paroles de l’album mondain que j’étais en train de mémoriser me revenaient à l’esprit, et m’empêchaient d’adorer Dieu. J’avais même des cahiers spéciaux pour ces musiques, mais avec l’aide de Dieu je les ai déchirés. Ces musiques ont une influence négative sur nous. En plus, les chants d’amour peuvent créer des sentiments en nous qui nous poussent dans une fausse direction en nous suggérant que nous trouvons le bonheur dans l’amour libre. Les aimer signifie aimer le monde et manquer d’amour pour Dieu. De réaliser ça, c’est dur, mais c’est vrai.
• « Moi, je leur ai donné ta Parole, et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde. » Jean 17, 14
Dans sa prière, le Seigneur dit à son Père que « nous ne sommes pas du monde ». Comment alors nous, ses enfants qui ne sommes pas du monde, pouvons aimer si ardemment la culture de ce monde au point de tenir des débats sur ces musiques avec les enfants du monde, et même de les chanter ? C’est absurde ! Et c’est encore plus absurde que notre playlist soit remplie de musiques de style « Westlife » et autres.
Il faut que cela change, car « nous ne sommes pas du monde » ! Je sais que c’est dur et même en ce moment où j’écris cela, il y a plein de musiques qui passent dans ma tête. Je t’assure que pour moi, c’est un réel combat de ne pas les chanter, car ces musiques sont attirantes. Mais si nous désirons plaire à Dieu nous devons les laisser, et être différents de cette « génération tordue et perverse ». Christ doit être le centre de notre vie et il doit régner en nous. Faisons tout pour sa gloire.
Dieu m’a aidé et même si je trébuche parfois, il me relève. La vie chrétienne est un combat, mais un combat qui en vaut la peine.
ASTUCES QUI PEUVENT T’AIDER
1. Remplis ta playlist de musiques qui t’élèvent spirituellement (sur le net, il y a de belles musiques chrétiennes dans toutes les langues), pour que les choses louables occupent tes pensées. Néanmoins, même dans les musiques chrétiennes il faut être sélectif, car malheureusement tous les chants appelés « chrétien » ne sont pas automatiquement bons. Veille au style de la musique et à ce que les paroles du chant reflètent ce que la Bible enseigne.
2. Chaque fois que tu es tenté, chante des cantiques pour louer le Seigneur.
3. Écris toi-même des poèmes ou des chants pour ton Seigneur.
4. Lis ta Bible et des livres que tu reçois dans les camps bibliques.
5. Apprends les cantiques, car je suis sûre que tu ne connais pas encore tous les cantiques p. ex. du recueil « Hymnes et cantiques », du cantique jaune ou même du bleu ou d’autres recueils chrétiens.
Cher jeune croyant, tu es un enfant béni de Dieu, tu es « la lumière du monde » (Matthieu 5, 14). Agis donc comme tel ! Soyons ensemble une génération vivante, une génération qui reflète les caractères de son Seigneur dans tout ce qu’elle fait, dit et chante. Que le monde voie nos bonnes œuvres et loue le Père pour cela (Matthieu 5, 16). Prions chaque jour que le Seigneur nous aide.
Du courage à toi, à nous et merci à Dieu.
Gestion de l'argent de poche
Votre courrier
Témoignage
Salut cher(e) ami(e) lecteur,
C’est un plaisir pour moi de pouvoir t’écrire à travers notre précieux journal pour les jeunes « Toi, suis-moi ». J’ai vraiment envie de te donner mon témoignage quant à la gestion de l’argent. Je tiens à préciser que c’est dans l’optique d’épargner à toute autre personne de vivre la même chose que ce qui m’est arrivé à propos de la mauvaise gestion.
En 2015, (j’avais alors 16 ans) j’ai eu le privilège de participer à un programme « argent de poche ». En fait le but de ce programme est d’apprendre à gérer son argent de poche d’une façon raisonnable. Pour le suivre, j’ai dû acheter un cahier que je devais soigneusement remplir. Il y avait 5 colonnes : « Date » pour inscrire la date de réception ou de dépense de l’argent ; « Recettes », où il est question d’enregistrer le montant reçu, « Dépenses », bien évidemment c’est ici que je devais noter la somme dépensée, « Libellé » pour préciser ce que j’avais fait avec l’argent dépensé, et à la fin « Solde », c’est là où il faut écrire tous les calculs.
Le programme m’a tout de suite fait craquer et je me sentais prêt à braver tous les défis qui se présenteraient, car une bonne gestion d’argent est une priorité dans nos vies. Je trouvais le programme très génial. Enfin je pouvais gérer mon petit argent sans m’embrouiller car tout était enregistré. Quand une chose m’échappait, je n’avais qu’à rechercher dans ma base de données et tout y était écrit.
« Celui qui est fidèle dans ce qui est très petit, est fidèle aussi dans ce qui est grand ; et celui qui est injuste dans ce qui est très petit, est injuste aussi dans ce qui est grand » (Luc 16,10) était ma devise, surtout la première partie de ce verset. Je priais toujours le Seigneur pour qu’il m’aide à rester vraiment fidèle dans le peu que je recevais de mes parents, de mes amis et de tous ceux qui avaient le cœur sur la main.
Au bout de deux ans, j’ai réussi mon probatoire avec une moyenne AB. Même si c’était ma deuxième fois, cela ne changeait rien, j’étais enfin en Terminale. Je pense que c’est à ce moment que l’orgueil a commencé à entrer dans ma vie et à trouver une place dans mon cœur (=1ère erreur). Je me disais aussi que j’avais déjà de l’expérience dans la gestion de mon argent (=2ème erreur).
Certains jours, il m’arrivait de dépenser de l’argent, p.ex. pour acheter un crédit de communication. Mais au lieu de le noter dans mon cahier comme toujours, je me disais que je noterais le lendemain ou plus tard, quand je ferai une dépense plus grande. Malheureusement même lorsque j’effectuais cette dépense que je qualifiais de « grande dépense » comme l’achat de nouvelles baskets, je me passais aussi de noter. Du coup, au bout d’une semaine, je me trouvais avec la tête pleine de dépenses dont j’avais non seulement oublié le jour où je l’avais effectuée, mais aussi la somme que j’avais sortie (=3ème erreur).
Vous vous rappelez de ma devise plus haut ? Je commençais à mettre en pratique la deuxième partie de ce verset au lieu de la première, comme je l’avais résolu au départ. Quand le moment du contrôle arrivait, je prenais mon stylo et je me mettais à remplir le cahier juste pour le remplir… Du fait que je ne me rappelais plus comment j’avais dépensé mon argent, il me fallait inventer des chiffres qui avaient l’air d’être raisonnables. Moi, le grand élève de terminale faussait toujours les petits calculs de 10 000, 5 000, ou 1 000…, parfois même à l’aide d’une calculatrice.
J’ai fait cela pendant 3 mois, sans vraiment réaliser que chaque fausse opération était un mensonge et que je me faisais moi-même du mal. J’ai finalement abandonné mon cahier, je l’ai même perdu. Ce que je recevais de mes parents et des autres, j’ai commencé à le trouver insuffisant pour moi. J’étais revenu au point zéro, à la case départ, même pire encore.
CONSÉQUENCES :
• Naturellement ma communion avec le Seigneur s’est interrompue. Je ne méditais plus comme avant, je ne priais plus pour moi personnellement, sauf quand j’avais besoin d’argent, ou alors en famille et avant un repas. Mais si j’analyse maintenant ma situation, je comprends que mon manque de communion avec le Seigneur a été le début de mon égarement, et que la mauvaise gestion était une conséquence de ce manque de communion avec le Seigneur.
• Tout ce que je recevais comme argent, je le trouvais très insuffisant.
• Je n’avais pas d’économies, comme dans le passé. Tout ce que je recevais ou gagnais grâce à un job, je le dilapidais sans m’en rendre compte.
• Contrairement à Romains 13,8, je me suis mis dans les dettes. À l’école je devais quelque chose à presque tous mes camarades.
• Le mensonge est devenu mon meilleur pote. Apparemment c’est le seul ami qui accepte d’accompagner quelqu’un dans le business malhonnête. Je me rappelle avoir vendu une montre « gâtée » de mon père, pourtant elle ne manquait que de pile.
• Cette année-là, j’ai même échoué à mon examen. … après tout, c’était normal, avec tout ce gros fardeau sur le dos, comment est-ce que j’aurais pu gérer mon argent à la fac ? Cela aurait été très malheureux, j’en suis sûr.
• Cette mauvaise gestion d’argent était accompagnée aussi d’une mauvaise gestion de mon temps (le téléphone !), le temps pour méditer, pour prier, pour étudier, je n’en trouvais plus.
Les gars franchement, le prix à payer était trop couteux. Il a fallu beaucoup de grâce, mais aussi que je sois châtié par le Père pour que je me rende à l’évidence. Et comme un bon père qui connait ses enfants, il a su où me frapper. Vous imaginez déjà bien ce que j’ai perdu n’est-ce pas ? … oui, c’était mon examen.
La nuit des résultats, vous n’allez pas me croire, mais je savais que j’avais échoué. Dieu me l’avait déjà fait sentir, ce qui a fait que lorsque mon résultat est arrivé, je n’étais pas surpris. Mais ce qui s’est passé cette nuit entre le Seigneur et moi, je ne l’oublierai jamais. J’ai prié qu’il donne à ma mère la force de supporter lorsque je lui dirais le lendemain que j’avais échoué. Il m’a exaucé. Les deux (mon père et ma mère) ont été admirables. Ma mère n’a pas pleuré, ils m’ont donné beaucoup de conseils. Le Seigneur m’a donné la force de supporter mon échec sans me plaindre durant cette période.
LEÇONS TIRÉES :
• J’ai compris selon Galates 6,7 : Ne soyez pas séduits, on ne se moque pas de Dieu, car ce qu’un homme sème, cela aussi il le moissonnera (ma moisson était grande ).
• J’ai compris qu’il ne faut pas irriter le Père, car il discipline ceux qu’il aime.
• J’ai compris que pour moi, rester proche du Seigneur est le seul refuge sûr. Et j’ai besoin que tu pries pour moi afin que j’y demeure.
• J’ai compris que savoir gérer son argent est une bonne chose, savoir le faire dès la jeunesse est très important.
• J’ai compris que la mauvaise gestion de l’argent est souvent accompagnée de l’amour de l’argent, et cela n’est pas bon (1 Tim. 6, 9-10).
Cher ami, merci de m’avoir lu attentivement. J’espère que grâce à ce témoignage, tu seras encouragé à prendre la résolution de ne pas faire comme moi.
Ne te détourne jamais du chemin de la foi, car même si un jour par la grâce, tu parviens à faire demi-tour, tu ne reviendras jamais comme tu es parti. Moi, je suis revenu en arrière, mais avec l’échec de mon examen. Abram a pris le chemin de l’Égypte, ce qui n’était pas la volonté de Dieu, Certes, il est revenu, mais il a ramené Agar qui a engendré Ismaël. Et qui est la descendance d’Ismaël ? Un peuple qui aujourd’hui hait et tue les chrétiens.
Alors, gère bien ton argent, cher ami, tu ne le regretteras jamais. Mais si tu fais comme moi, je te garantis que ce chemin ne te conduira nulle part ailleurs qu’à la souffrance. Demeure près du Seigneur tous les jours de ta vie.
Ton ami qui t’aime.
Une chose à faire avant tout
VOTRE COURRIEL:
Il y a une chose à faire avant tout :
- Vivez en communion avec votre Seigneur
- Lisez la Bible
- Priez régulièrement
- Demandez-lui des orientations pour votre vie
Un conseiller pastoral a dit :
« La communion avec le Seigneur
est le meilleur préservatif
contre la convoitise. »
D.(17 ans)
Bonne journée dans la paix de Christ !