Le meilleur est à venir !

  • Le temps de la grâce

Nous vivons aujourd’hui encore dans le temps de la grâce. L’expression « temps de la grâce » désigne la période pendant laquelle l’Évangile du salut est annoncé et où tous ceux qui croient au Seigneur Jésus sont sauvés.

Ceux qui croient ont une grande espérance. Ils attendent des événements qui se produiront avec une certitude absolue, car cette espérance chrétienne se fonde sur les déclarations de Dieu qui ne peut mentir. Elle concerne ce qui vient après la vie terrestre, des choses célestes et éternelles.

Dieu lui-même veut nous remplir dès maintenant de toute joie et de toute paix en regardant vers l’avant, vers ce qui nous attend au ciel.

Que signifie cette perspective pour nous ? Quel est le prochain événement que nous attendons en tant que croyants ? Aucun doute : C’est l’enlèvement !

 

Pour ceux qui mènent encore leur vie sans Dieu, il est aussi extrêmement important de connaître l’avenir. Car au moment de l’enlèvement, les chemins de ceux qui croient au Seigneur Jésus et de ceux qui ne croient pas se séparent. Pour ce deuxième groupe, il n’y aura alors plus de possibilité de se convertir. En d’autres termes, si le Seigneur Jésus revient pour prendre ceux qui croient en lui et que tu n’es pas encore converti, tu seras perdu pour toujours. Si tu fais partie de ce groupe, lis aussi attentivement cet article. Et ensuite, demande-toi où tu veux passer l’éternité.

  • L’enlèvement

Par l’expression « enlèvement », nous comprenons l’événement selon lequel le Seigneur Jésus viendra et enlèvera de cette terre tous ceux qui croient en Lui pour les emmener au ciel. C’est la fin du temps de la grâce.

Le grand désir du Seigneur Jésus, exprimé par la prière : « Père, je veux, quant à ceux que tu m’as donnés, que là où je suis, moi, ils y soient aussi avec moi, afin qu’ils contemplent ma gloire » (Jean 17,24), doit se réaliser. Est-ce aussi ton plus grand désir de voir enfin celui en qui tu as cru ? Ou bien nos cœurs sont-ils tellement refroidis que nous considérions son retour comme un événement parmi tant d’autres dans notre planification personnelle de l’avenir ?

Puisque nous, les humains, aimons tant planifier, il est certainement intéressant de savoir quand l’enlèvement aura lieu. Or, nous ne trouvons dans la Bible aucune date mentionnée pour cet événement. Le Seigneur lui-même dit en Actes 1,7 : « Ce n’est pas à vous de connaître les temps et les saisons que le Père a réservé à sa propre autorité. »

Et ce n’est pas sans raison, car la connaissance d’un moment précis ne nous conduirait-elle pas à la négligence, car nous pourrions penser pouvoir tout arranger juste avant sa venue ? Ah, si le Seigneur ne vient qu’à ce moment-là, nous pourrions encore faire ceci ou cela avant (peut-être même sans Lui !). Franchement, ces pensées nous sont-elles étrangères ? Mais le Seigneur veut susciter en nous une attente qui nous stimule à le rechercher chaque jour. Ce matin, as-tu déjà pensé : « Viendra-t-il aujourd’hui ? ». Il a dit : « Je viens bientôt ! » (Apoc. 22,7,20), c’est-à-dire qu’il vient très certainement ‑ mais le moment précis reste ouvert. Il se peut donc que nous sortions de la maison ce matin comme d’habitude ‑ et que nous ne revenions pas. Tout à coup, notre place dans la voiture, à l’école, au travail, sera vide. Nous aurons quitté la terre pour être avec notre Seigneur. Sommes-nous prêts ?

Il est certain que l’enlèvement aura lieu avant le début des temps de jugements. En Apocalypse 3, le Seigneur assure les croyants de Philadelphie qu’Il les gardera « de l’heure de l’épreuve » (v.10). L’enlèvement et les événements qui s’y dérouleront nous sont toutefois rapportés de manière plus détaillée (1 Cor. 15 ; 1 Thess. 4). Tout d’abord, nous voyons que le Seigneur viendra personnellement « chercher » les siens. Il ne viendra toutefois pas sur la terre, mais la rencontre aura lieu en l’air, c’est-à-dire dans l’atmosphère qui entoure la terre (1 Thess. 4,17). C’est d’ailleurs la zone de pouvoir de Satan (Éph. 2,2). Quel triomphe !

De plus, nous trouvons différents signaux qui annonceront l’enlèvement (1 Thess. 4,16). La Bible nous parle « du cri de commandement », de « la voix d’archange » et de « la trompette de Dieu ». La dernière image sort du domaine militaire. Après le signal pour « lever le camp » et « se préparer », le dernier signal a été donné : « En avant ». C’est parti, la « troupe » de tous les croyants se met en mouvement ‑ attirée par la puissance inimaginable du Seigneur ‑ en direction du ciel. Vas-tu faire partie de ce mouvement ?

Il reste à savoir ce qui se passera entre le moment où les signaux retentissent et l’enlèvement proprement dit. Tout d’abord, les croyants endormis (aussi bien de l’Ancien que du Nouveau Testament) ressusciteront et recevront un « corps de gloire ». Il s’agit de la « résurrection d’entre les morts » (Phil. 3,11) : En fait, certains ressusciteront (les croyants), d’autres non (les non-croyants). Les croyants vivant sur la terre à ce moment-là seront transformés, de sorte qu’ils recevront eux aussi ce « corps de gloire » (1 Cor. 15,52-53). Ce corps sera extérieurement en relation avec le corps précédent au point que nous nous reconnaîtrons les uns les autres (Luc 16,23-31) ‑ même si nous ne nous sommes jamais vus sur terre. Les caractéristique et la personnalité de l’individu subsisteront toujours (cf. Luc 9,28-36 ; 13,28). Cependant, le corps sera « sans sang ». C’est un « corps spirituel » (1 Cor. 15,44). Ainsi, il n’est plus soumis aux lois de la nature, de l’espace et du temps (cf. Jean 20,19 ; Luc 24,31). Ce corps de gloire permettra aux croyants d’entrer dans le ciel, dans la présence de Dieu, dans la maison du Père.

  • La maison du Père

Plus encore que pour l’enlèvement, nous arrivons ici à des choses difficiles à décrire avec des mots et absolument impossibles à saisir avec notre intelligence. La maison du Père est le lieu où Dieu ‑ le Père, le Fils et le Saint-Esprit ‑ réside depuis l’éternité. Elle est caractérisée par la gloire de Dieu et se trouve en dehors de la création. Nous ne devrions pas penser ici à un lieu géographique précis, mais plutôt à une zone dans l’atmosphère, marquée par la présence de Dieu.

Jean 14 parle de cette maison du Père. Le Seigneur Jésus fait lui-même allusion aux « nombreuses demeures » dans la maison de son Père (Jean 14,2). Il ira préparer une « place » pour les disciples (et donc pour nous aussi) dans ces demeures. Chaque racheté y aura sa place personnelle, préparée par le Seigneur Jésus, qui y sera entré en tant qu’homme glorifié. Il se porte lui-même garant du fait que nous y serons accueillis (Héb. 6,20). La condition pour pouvoir y entrer en tant qu’être humain est la possession de la nature divine (2 Pierre 1,4). Nous serons semblables à Christ, nous Le verrons tel qu’Il est (1 Jean 3,2). Le désir et la volonté du Seigneur Jésus que les siens soient avec Lui et voient Sa gloire seront alors accomplis (Jean 17,24). Nous serons avec Lui pour toujours – quel bonheur.

Aujourd’hui, nous avons souvent du mal à nous concentrer sur Lui pendant le temps de méditation personnelle ou les réunions. Mais au ciel, plus rien ne nous distraira. Nous admirerons notre Sauveur sans être dérangés, car alors Christ sera « tout et en tous » (Col. 3,11). Bien sûr, les nombreuses choses qui nous ont fait souffrir ici sur terre ne seront plus là, et nous pouvons déjà nous en réjouir de tout cœur. Ce fait dépasse notre capacité d’imagination. Plus de maladie, plus de tristesse, plus de solitude, plus de chômage, plus de mort… Est-ce imaginable ?

Mais tout cela passera au second plan lorsque nous verrons l’Homme qui, sur la croix, a supporté le jugement de Dieu pour nos fautes. Celui qui, par son œuvre, a rendu possible tout ce que nous vivrons et tout ce dont nous jouirons éternellement. Des millions de rachetés tourneront leurs yeux vers Lui et s’écrieront ensemble : « Digne est l’Agneau qui a été immolé de recevoir la puissance, et richesse, et sagesse, et force et honneur, et gloire et bénédiction » (Apoc. 5,12). Quel avenir merveilleux !

  • La grande tribulation

Tandis que les rachetés sont dans la maison du Père, le temps du jugement aura lieu sur la terre. Après l’enlèvement des saints, vraisemblablement après un intervalle, une période de tribulations de sept ans suivra.

Ce sera un temps terrible, avec des jugements décrits dans la Bible tels qu’il n’y en a jamais eu sur la terre : Jérémie parle déjà d’un temps tel qu’il n’y en a point de semblable, un temps de détresse (30,7). Daniel le confirme : « Et ce sera un temps de détresse tel, qu’il n’y en a pas eu depuis qu’il existe une nation jusqu’à ce temps-là » (Dan. 12,1), et le Seigneur en parle en Matthieu 24,21 et Marc 13,19.

La Bible enseigne que toute la terre est concernée par cette grande tribulation, y compris le peuple d’Israël, mais pas les chrétiens qui composent l’Église, car ils seront déjà au ciel. Apocalypse 3,10 qui s’adresse à l’Église (de Philadelphie) déclare que les fidèles seront gardés de l’heure de l’épreuve qui vient sur la terre habitée tout entière.

À la fin de cette période, le Seigneur Jésus viendra du ciel sur la terre avec les siens. Il est probable que deux autres événements particuliers auront lieu peu avant cette venue du ciel : Chaque racheté sera manifesté devant le tribunal du Christ, et ensuite, les noces de l’Agneau prendront place.

  • Le tribunal du Christ

Le tribunal du Christ est décrit plus en détail en Romains 14 et 2 Corinthiens 5. Contrairement aux procès terrestres, il ne s’agit en aucun cas de condamnation des croyants. Aucun de ceux qui croient ne vient en jugement (Jean 5,24). Mais la vie de chaque racheté sera révélée et passée en revue. Chaque question ouverte, chaque « Pourquoi ? » y trouvera sa réponse. Peut-être peut-on comparer cela à un tapis : D’en bas, un seul enchevêtrement de fils, mais d’en haut, un beau motif qui a du sens. Notre « tapis de vie » sera déployé devant le tribunal et nous comprendrons tous les chemins et les « détours » de notre vie. Nous serons émerveillés et profondément reconnaissants.

Nous comprendrons aussi parfaitement ce qu’est le péché ‑ et ce qu’est la grâce. Nous regarderons tout avec Ses yeux, selon la norme divine, et nous nous rallierons sans réserve à son jugement. L’accord absolu avec le Seigneur Jésus en sera la conséquence ‑ et c’est la condition préalable aux noces de l’Agneau. « L’épouse s’est préparée », les noces peuvent commencer (Apoc. 19,7).

Nous n’avons donc pas à craindre le tribunal de Christ. Mais pourtant, le fait que notre vie soit révélée doit avoir une grande influence sur notre façon de vivre actuelle. Tout ce que nous disons, pensons et faisons sera révélé un jour. De ce point de vue, le tribunal est une chose sérieuse, mais aussi stimulante.

  • Les noces de l’Agneau

En Apocalypse 19, où les noces de l’Agneau sont décrites, nous trouvons également l’épouse de l’Agneau. Le moment est venu où il apparaît clairement que l’Assemblée (tous les croyants depuis la Pentecôte jusqu’à l’enlèvement) occupe une place particulière parmi les croyants de toutes les époques. Elle est l’épouse, alors que les croyants de l’Ancien Testament sont les invités, les « amis de l’époux » (cf. Jean 3,29). Ceux-ci sont également bienheureux (Apoc. 19,9).

La Parole de Dieu garde le silence sur les sentiments de l’épouse (hormis des allusions au Psaume 45 et dans le Cantique des cantiques). Il n’est pas possible de décrire ses sentiments en termes humains. Ce qui se passera en ces instants entre le Seigneur et son épouse reste aujourd’hui caché à nos yeux. L’épouse se tient devant Lui, sans « tache ni ride, sainte et irréprochable » (Éph. 5,27). La communion est intime, éternellement inaltérée.

Encore une remarque sur le vêtement de l’épouse. D’une part, nous lisons qu’il lui est donné, d’autre part, qu’il est constitué des actes justes des saints (Apoc. 19,8). Chacun d’entre nous travaille déjà aujourd’hui à la confection de cette robe. Ce qui est aujourd’hui dans notre vie à la gloire du Seigneur Jésus fera à l’avenir partie intégrante de ce vêtement. Et pourtant, il est dit qu’ « il lui a été donné ». Ce sont en fin de compte les « bonnes œuvres que Dieu a préparées à l’avance » (Éph. 2,10). Tout est immérité et dû à Sa grâce merveilleuse et illimitée.

  • L’apparition de Christ

Lorsque Jésus Christ est venu sur terre il y a environ 2000 ans, en tant qu’homme bon et humble et comme Sauveur, il a été rejeté et crucifié. Mais il viendra une deuxième fois sur la terre, avec puissance et gloire, suivi d’une grande armée pour revendiquer sa domination sur toute la terre.

Cette apparition du Seigneur aura lieu directement après les noces de l’Agneau. Il reviendra en puissance, accompagné des anges et des croyants (2 Thess. 1,7,10, Apoc. 19,11-16). Ce sera le moment de gloire et de triomphe. Il sera reconnu universellement, « glorifié » et « admiré » (Phil. 2,10,11 ; 2 Thess. 1,10). Celui qui porta la couronne d’épines, portera à ce moment-là « beaucoup de diadèmes » (Apoc. 19,12), et le nom suivant sera inscrit sur lui : « ROI DES ROIS, ET SEIGNEUR DES SEIGNEURS » (Apoc. 19,16). Bien que les chrétiens attendent l’enlèvement, ils aiment (attendent) son apparition (2 Tim. 4,8). D’un côté, ce sera le jour de manifestation pour eux, quand les résultats de l’œuvre de Christ seront visibles (Phil. 1,6,10 ; 4,1) et ils contribueront à la gloire et à l’admiration que Christ recevra (2 Thess. 1,10). D’un autre côté, ce sera le jour où leur Maître – celui qu’ils ont suivi quand il était rejeté – sera honoré et reconnu par tous. Ce sera le jour des récompenses (2 Tim. 4,8). Le jour de manifestation pour le « Roi des rois » DOIT être un jour de joie pour son Épouse.

Il reviendra sur la montagne des Oliviers (Zach. 14) d’où il était monté au ciel (Actes 1,11,12). C’est là qu’Il exécutera le jugement final des vivants (Apoc. 19,14). Satan sera lié pour 1000 ans et n’aura donc plus la possibilité de séduire les hommes. C’est alors que commencera le règne de paix de mille ans.

  • Le royaume de paix de mille ans

Israël et tous les autres peuples participeront au royaume millénaire et jouiront des bénédictions de la création libérée (És. 11,6-9 ; 65,17-25 ; Zach. 14,16-21). Les conséquences du péché ‑ à l’exception du serpent, des marais de la mer Morte et des hommes qui se rebellent publiquement durant cette période ‑ sont annulées, la malédiction a disparu. Tout genou fléchira devant le Seigneur Jésus, qui régnera alors en justice.

Bien que Satan ne puisse plus exercer son influence séductrice, les hommes conservent toutefois la « capacité » de pécher. La rébellion et le péché manifestes seront toutefois punis quotidiennement (Ps. 101,4-8). La Jérusalem terrestre sera alors le centre de la terre.

L’Assemblée, cependant, conservera son caractère céleste pour toujours. En Apocalypse 21,9-22,5, elle nous est montrée, représentée par la « ville sainte, Jérusalem, descendant du ciel, d’auprès de Dieu ». Elle vient avec le Christ pour régner avec Lui pendant 1000 ans (Apoc. 20,4). Sa place est et reste le ciel, tandis que son ministère consiste à administrer la terre avec le Seigneur. Chaque croyant y occupera une position différente, en fonction de sa fidélité dans la vie présente (Luc 19,15-27). C’est maintenant que la récompense personnelle du croyant devient visible. Ce ne sont pas les résultats extérieurs de son service antérieur, mais la fidélité, l’obéissance et le dévouement qui jouent un rôle décisif.

À la fin du règne millénaire, Satan aura encore une fois l’occasion de séduire les hommes pendant une courte période. En cela, il sera à nouveau très efficace. Il en arrivera au point où les nations entreront en guerre contre le Seigneur Jésus sous sa direction. Dans ce combat, Satan et tous ceux qu’il a séduit seront définitivement vaincus (Apoc. 20,7-9).

  • Le grand trône blanc

Après la fin du règne millénaire, le jugement des morts aura lieu devant le grand trône blanc. Tous ceux qui sont morts dans l’incrédulité y recevront leur châtiment éternel. Tous les incrédules doivent comparaître devant le grand trône blanc. Bien qu’ils soient ressuscités, ils sont appelés « morts » car c’est là leur état spirituel.

Ils seront tous condamnés et jetés dans l’étang de feu, et ce pour deux raisons :

  • D’une part, parce que leurs noms sont absents du livre de vie, car ils ne se sont jamais convertis à Dieu,
  • D’autre part, parce qu’ils ont commis de mauvaises œuvres.

L’intensité de leur châtiment sera proportionnelle aux mauvaises œuvres commises (Apoc. 20,12-25). L’étang de feu est un lieu terrible de punition et de tourment éternel. Jésus Christ lui-même est assis comme juge sur le grand trône blanc, car le Père ne juge personne, mais il a donné tout le jugement au Fils (Jean 5,22).

Ensuite, les cieux et la terre disparaîtront avec un bruit énorme et seront brûlés (2 Pierre 3,10). Les choses anciennes auront disparu. Avec la création de nouveaux cieux et d’une nouvelle terre (Apoc. 21,1) commence un « état éternel » où « Dieu est tout en tous » (1 Cor. 15,28).

  • L’éternité

Il n’y aura aucun souvenir du péché et de ses conséquences, ni dans le ciel ni sur la terre. Tout sera en parfaite harmonie avec Dieu. Jean voit l’assemblée descendre du ciel dans l’image de la nouvelle Jérusalem. Elle est introduite sur la terre par les mots « Voici, l’habitation de Dieu est avec les hommes » (Apoc. 21,2-3). Il n’y a plus de peuples et de nations. Les « hommes » ‑ ce sont les personnes nées de nouveau de tous les siècles qui n’appartiennent pas à l’Assemblée. Tout sera rempli et marqué par la présence de Dieu.

« Ces paroles sont certaines et vraies. Puis il me dit : C’est fait » (Apoc. 21,5). Comme de nombreuses prophéties de la Bible se sont déjà réalisées, toutes les choses encore à venir s’accompliront ‑ sans aucun doute.

Conclusion

Les croyants auront un avenir glorieux qui peut commencer à n’importe quel moment et avant toutes choses. Ce sera inimaginable, merveilleux. La félicité éternelle. Le meilleur va venir !

Mais si tu refuses la grâce de Dieu et si tu ne crois pas au Seigneur Jésus Christ, ton avenir sera terrible. Une éternité dans l’étang de feu ‑ horrible, pleine de souffrances et de regrets sans fin.

Viens à Jésus, viens aujourd’hui !